lunes, 3 de julio de 2017

Vivre est un plagiat

Par Claire Mazaleyrat

     Sept chapitres qui constituent autant de nouvelles s’enchevêtrent (se mezclan, se interrelacionan, se entrelazan) dans un roman vertigineux, qui joue sur la dualité et la duplicité, la fidélité et la trahison, la réalité et la fiction, l’ombre des personnages et de leur créateur, le vol et la perte d’identité. Les personnages de chaque chapitre reviennent dans les autres sous un autre point de vue, se croisent et échangent parfois des répliques qui prennent un tout autre sens dans le chapitre suivant, alors que les intrigues s’enchevêtrent (se mezclan, se interrelacionan, se entrelazan) autour de mystères métaphysiques et policiers. Des joueurs d’échecs pour lesquels la vie et un vaste plateau de jeu, un écrivain persuadé de n’avoir pas écrit son dernier roman, un journaliste qui publie un roman sous un faux nom pour dénoncer la corruption de ses collègues, et doit faire la critique de son propre livre complètement subverti par un éditeur fourbe, des déguisements médiévaux, un homme qui part en mission en Nouvelle-Zélande et se suicide dans un avion en flammes, une jeune femme sublime et désespérée à la recherche de son père, une traductrice infidèle à son mari et à son amant, sont autant de ces personnages qui tournoient dans ce récit fondé sur des jeux de miroirs.

       Le texte complet ici.